Les Patoisans n'hésitent pas à se mêler au public, l'incitant à chanter et à taper dans les mains.
Article Pierre Perrin.
Diaporama Maria Velon
Ce Jeudi, la maison de retraite a marqué une fois de plus sa volonté d'offrir à ses résidents des moments de détente. Elle ne manque aucune occasion d'inviter des groupes, souvent amateurs, pour faire rire et sourire les pensionnaires.
Treize membres de Patois, traditions et vieux métiers sont arrivés à 11 h 45, leur offrant une chanson en guise d'apéritif, dans les deux salles à manger. Le repas tournait autour du thème « machine à battre », le menu étant suggéré par les résidents et préparé dans les cuisines de l'établissement. Il y avait de la poule, du lapin, des pommes de terre, du fromage, c'est-à-dire tous les produits que l'on trouvait dans les fermes et une crème au chocolat avec de la brioche au dessert.
Puis, il fallait bien la grande salle pour la prestation des Patoisans durant une bonne heure, devant la presque totalité des 91 résidents. Chansons en patois et en français, danses bressanes et Dédé au saxo avant de terminer cette petite fête avec la chanson sketch « Les paysans valent bien les bourgeois ». Le titre est ici traduit en français.
Le personnel de service avait revêtu des costumes de circonstance se lançant même dans une farandole. La directrice, Mme Devillard-Molitor, souligna l'heureuse répercussion de ces animations sur le moral et le physique des résidents.
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