Les paysans vendaient au marché du village les produits qu'ils ne consommaient pas ou qu'ils avaient cultivés, élevés, transformés, ... Le commerce était (et reste toujours) le prolongement naturel de l'activité de production de biens et services. Le commerce a débuté sous forme de troc et s'est ensuite modernisé grâce à la monnaie.
Nous trouverons donc les étals de légumes, les oeuf frais, les pigeons, les volailles, les fromages, ...
Des commerçants proposent également les produit usuels ou nécessitant une transformation, la boucherie, la boulangerie, le marchand de linge, ...
Si le marché est plus important, on l'appellera foire, avec des cochons, des vaches, des chevaux, ...
Il y a alors les vendeurs d'outils, ...
Tous ces articles faisaient partie des produits de premières nécessités. Il n'y avait aucune place laissée au gaspillage.
Dans le canton de Saint-Trivier, chaque jour de la semaine avait son marché le matin :
- lundi à Saint-Julien (ce marché n'existe plus) et à Saint-Trivier,
- mardi à Cormoz,
- mercredi, à priori pas de marché,
- jeudi à Saint-Nizier
- vendredi, à priori pas de marché,
- samedi à Saint-Jean
- Dimanche à Saint-Trivier
A priori, il n'y avait pas de marché à Servignat, Lescheroux, Vescours, Vernoux, courtes, Curciat, Mantenay.
Saint-Trivier à conservé sa foire chaque année fin août. Un reportage lui est d'ailleurs consacré.
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